Le français est en net recul partout. Nul besoin d'étude de marché, scientifique ou même d'opinion à ce propos, c'est la vérité simple.
La preuve est dans le nouveau ''Petit Robert'' avec l'avènement de plusieurs mots carrément anglais dans le vocabulaire quotidien. La preuve est sur la rue Sainte-Catherine et Saint-Laurent ou l'on se fait servir en anglais d'abord un peu partout. La preuve est dans les noms d'entreprise de plus en plus en anglais tels que EB Games, Home Depot, Shoe Factory et Boston Pizza.
La preuve se trouve également dans nos école, les journaux, le monstre à un œil(Télévision), dans les conversations quotidiennes et chez les artistes francophones aux noms, chansons et titres anglais.
Ceux qui disent le contraire vivent soit dans dans une rêve ou les oreilles bouchées. Ceux qui disent que ceux qui prônent le français à tout prix sont fou ne sont que des traitres à leur langue.
Il faut revenir au renforcement, par la répression, la sensibilisation, l'éducation et l'obligation de la langue française. Il faut imposer des amandes TRÈS sévère aux contrevenants(5000.00$ l'infraction ferait réfléchir) qui ne respectent pas le fait français et par cela créent une discrimination selon la langue. Ce qui est très clairement interdit dans la charte des droits et libertés au Canada.
Il faut interdire l'affichage et les communications dans toute langue autre que le français et renforcer les organismes et moyens de surveillance. Il faut se plaindre à répétitions aux chiens de garde de l'état, nommé ''L'office Québécois de la langue française''.
Il faut faire pressions en tant qu'individu en refusant de plier, d'accommoder et accepter notre anglicisassions planifiée..
Refuser ''The Gazette'' et ''CHOM FM'' et faire disparaitre les symboles de l'autorité anglophone tels que la statue de Nelson, place Jacques-Cartier(Quelle honte!!!) et les rues, Wolfes, Amhearst et McGill.
Nous ne vivons pas une adaptation de la langue comme le souligne certains, nous sommes en train de nous faire assimiler.
Tout cela n'est pas une question de paranoïa, d'ouverture d'esprit ou de perception, c'est la triste et réelle réalité. Il faut aimer les anglais comme les autres, mais quand ils sont ailleurs.
Le terme en voie de disparition n'est pas que pour l'écologie.
QUÉBÉCOIS, QUÉBÉCOISES FRANCOPHONES.....
Réveillez-vous, v'là les yankees.